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Details

VOYAGE AU CONGO   [Original Title]

SCENES DE LA VIE INDIGENE EN AFRIQUE EQUATORIALE   [Alternative Title]
ZemÄ›: France
Rok: 1927
Žánr: Documentary Film
Exteriéry: n/a

Titulky:
Director: MARC ALLEGRET


Klíčová slova: Afrique, animaux, architecture, arts, Bambari, Bangassou, Bangui, bateaux, Baya, Cameroun, Canaries, caoutchouc, cavaliers, céréales, cérémonies, cérémonies religieuses, Chari, chemins de fer, coiffure, colliers, colonialisme, Congo, Congo belge, crocodiles, danse, danses tribales, Dapka, défrichements, Douala, Espagne, Europe, fêtes, fleuves, Fort-Archambault, Fulbe, hippopotames, huileries, huttes, instruments de musique, Kinshasa, Kotoko, Léré, Logone, loisirs, manioc, marabouts, marchés, mariages, masques, Massa, Matadi, Mbali, mil, missions, Moundang, Nzakara, Océan Atlantique, oiseaux, pêche, peinture, peintures corporelles, pélicans, pirogues, plantes, Reï-Bouba, remparts, reptiles, République Centreafricaine, rites, Sara, sultans, tambours, Tchad, tourisme, tribalisme, trompes, tuberculose, Ubangi, végétaux, vie quotidienne, villages, Afrika, architectuur, Atlantische Oceaan, Bambari, Bangassou, Bangui, Baya, Belgisch Congo, boten, broodwortel, Canarische Eilanden, Centraal-Afrikaanse Republiek, Chari, Congo, dagelijkse leven, dansen, Dapka, dieren, dorpen, Douala, ethnische dansen, Europa, feesten, Fort-Archambault, Fulbe, gewassen, gierst, graangewassen, hutten, huwelijken, Kameroen, kano's, kapsel, kettingen, Kinshasa, kolonialisme, Kotoko, krokodillen, kunsten, Léré, lichaamsbeschilderingen, Logone, maraboes, markten, maskers, Massa, Matadi, Mbali, missies, Moundang, muziekinstrumenten, nijlpaarden, Nzakara, oliefabrieken, omwallingen, ontginningen, pelikanen, planten, plechtigheden, recreatie, Reï-Bouba, religieuze plechtigheden, reptielen, riten, rubber, ruiters, Sara, schilderkunst, Spanje, spoorwegen, stromen, sultans, toerisme, tribalisme, trommels, Tsjaad, tuberculose, Ubangi, visserij, vogels, waldhoorns
Le film retrace un voyage débutant au large des îles Canaries, traversant brièvement le Congo belge, puis visitant la République centrafricaine, le Tchad et le Cameroun. Bien que conçu essentiellement comme une relation touristique, il contient de nombreuses notations ethnographiques.

"En mer"
Des gens sur un bâteau, longeant des côtes montagneuses.
"La cĂ´te occidentale des Canaries"
"Escale"
Une barque s'approche du bâteau
"Des barques amènent de la côte les colons qui viennent saluer les passagers"
"Ils sont hissés à bord dans d'incorfortables nacelles"
"Après 22 jours de mer, deux jours de chemin de fer au Congo belge"
Sur une carte, tracé du trajet en chemin de fer Matadi-Kinshasa.
Travellings avant et latéraux à partir du train.
"Une gare. Voyageurs et locomotive se ravitaillent".
Animation sur le quai de la gare. Chargement du bois de chauffage pour la locomotive.
"Il ne faut guère moins de deux semaines pour remonter le fleuve jusqu'à Bangui."
Vues du fleuve.
"Entre les îles de l'Oubangui.
Un homme sur sa pirogue.
"Bangui"
Scènes de marché.
"Dans la ville indigène. Un salon de coiffure".
Une femme assisie Ă  terre se fait tresser les cheveux par une autre. Vues du fleuve Ubangui. Pirogues.
"M. Lamblin. La colonie de l'Oubangui-Chari possède un important réseau routier. Des convois automobiles réguliers ont libéré la population des dures corvées du portage".
Carte des liaisons routières.
"Les chutes de la M'bali"
"Sur la route de Bangassou"
Très grande hutte recouverte de chaume
"Après la secrète cérémonie de l'excision, les jeunes filles Nzakaras dansent sous la conduite des matrones au centre du large cercle formés par les hommes du village".
"Bambari. Grand centre de production du caoutchouc de culture. Une fois par mois les indigènes apportent le produit des céaras plantés autour de leurs villages".
"La pesée des "crêpes" de caoutchouc"
"Aux environs de Bambari, la petite tribu des Dapkas offre volontiers le spectacle de ses danses..."
"...au son de 23 trompes de bois, chacune ne donne qu'une seule note, sorte de beuglement prolongé"
Danses. Les danseurs sont recouverts de peintures corporelles. Musiciens. Trompes et tambours.
"Le double choeur blanc et noir évolue sous la conduite d'un coryphée"
"A l'ouest de Bangui, les routes cessent d'ĂŞtre praticables. Le voyage Ă  pied nous permettra de prendre un contact plus intime avec ce pays et avec cinq de ses tribus les plus curieuses".
"Les Bayas, les Saras, les Massas, les Moundangs, les Foulbés".
"Les Bayas"
"La végétation équatoriale est luxuriante. Les seuls terrains cultivables ont été conquis à l'aide du feu..."
"...par les indigènes qui surveillent les progrès rapides de la flamme
et guettent..."
"si quelque menu gibier, ne fût-ce qu'un gros rat ne se décidera pas à sortir"
DĂ©frichement par le feu - des hommes munis de lances l'entourent
"Les femmes ne reviennent jamais bredouilles. Une ample récolte de sauterelles, friandise très appréciée des Bayas."
"Rien de plus paisible que la vie dans un de ces villages"
Plan d'ensemble du village.
"Les femmes cultivent le sol avec des instruments aussi primitifs que leur costume, simple paquet de feuilles ou de fibres de palmier"
Jeunes filles travaillant avec des houes.
"Le manioc, base de la nourriture de ces anciens cannibales ne fournit pas seulement des tubercules..."
"...ses feuilles tiendront lieu d'Ă©pinards".
Jeunes filles arrachant des feuilles de manioc.
"Les tubercules mettent environ 18 mois Ă  se former"
"Ils s'Ă©tendent horizontalement Ă  peu de profondeur"
Des jeunes filles dégagent des racines de manioc
"Voici qui suffira pour quelques jours"
Retour au village, les paniers sur la tĂŞte.
"Les tubercules, coupés en morceaux, sont mis à rouir dans la cuvette naturelle que forme un creux de rocher"
"L'eau dissout l'acide prussique qui rendait leur pulpe incomestible"
"Ceux qui trempent depuis quelques jours sont décortiqués"
"La pulpe sèche vite sur la pierre que le soleil a rendu brûlante"
La pulpe est concassée à la houe. Des femmes et des enfants sont assis devant une hutte. Une partie du manioc, devenu poudreux, est rassemblé à l'aide de balais.
"Tout en chantant, les femmes pilonnent cette pulpe dans des mortiers puis tamisent la farine obtenue."
"La farine est versée par poignée dans une marmite d'eau bouillante"
"Au bout de quelques minutes le manioc devient une pâte épaisse."
Le pain est cuit."
"Chez les Saras"
"Fort Archambault est au bord du Chari, vaste fleuve qui se jette dans le lac Tchad"
Pirogues sur l'eau
"de grandes réjouissances se préparent. Les indigènes venus de leur lointain village pour assister à la fête du 1er janvier"
"Aux premiers arrivés les meilleures places"
"Les Saras, habiles cavaliers"
"Et maintenant le lancer de la sagaie"
"Catch as catch can"
tournoi de lutte devant une grande foule
"A qui le tour ?"
"Pour grimper au mât de Cocagne les indigènes ne se servent pas de leurs genoux"
"Après les concurrents sérieux..."
Des enfants tentent de grimper au mât
"Les femmes vont Ă  leur tout montrer leur valeur. Elles ont revĂŞtu pour ce jour leurs plus beaux colliers de perles"
Portraits de jeunes filles et femmes
"Le push ball"
Les villageois poussent un ballon immense
"Les Saras sont particulièrement accueillants. Ils nous admettent volontiers dans l'intimité de leur vie".

[A partir d'ici, le réalisateur a mis en scène une idylle entre la jeune fille Kadde et le jeune homme Djimta, suivi des négociations pour le mariage]
"Kadde"
une jeune fille
"et sa soeur vont piler le mil"
"Dans la colonie du Tchad, le mil remplace le manioc. Les grandes corbeilles au second plan sont des greniers Ă  mil"/
"Djimta et sa famille".
"Un vallonnement mène au bord du fleuve..."
"oĂą les enfants vont se baigner"
"Les femmes viennent laver leur mil"
"et les hommes abreuver leurs chevaux"
"Kadde a remarqué Djimta"
"Comment attirer ses regards ?"
Kadde se met à boîter.
"Cette blessure au pied n'est peut-ĂŞtre qu'une feinte"
"Djimta s'y laisse prendre volontiers.
Il met Kadde sur son cheval et retourne au village.
"Sur la place du village, les petits garçons s'exercent à lancer le couteau tandis que les fillettes viennent puiser de l'eau"
"Au bord du puits"
Kadde et un enfant viennent puiser de l'eau. L'enfant en profite pour se laver.
"Aujourd'hui Djimta n'accompagnera pas les chasseurs"
Djimta vient au puits.
"Les compagnes de Kadde vont se baigner"
"Djimta convient avec Kadde du jour oĂą il viendra la demander en mariage"
"Le prétendant doit acheter sa femme. Il est d'usage chez les Saras qu'il ne parle pas directement aux beaux-parents tant que le mariage n'est pas conclu."
"Djimta vient donc avec un ami qui s'assied entre le futur beau-père et lui"
"pour transmettre après quelques salutations les propositions de Djimta"
"et redire à celui-ci la réponse du vieux que Djimta est censé ne pas entendre"
"Le père de Kadde se montre trop exigeant"
"Djimta ne peut donner que 100 francs et 5 cabris"
"10 cabris répète le vieux. Il ne cèdera pas sa fille à moins"
"Kadde apprend de sa mère le résultat de la démarche de Djimta"
"La tristesse de Kadde et la tendresse de sa soeur s'expriment par des gestes naĂŻfs"
"Cependant Djimta va supplier son père de bien vouloir compléter sa dot"
"Tout s'arrange, l'affaire est conclue. Les mains s'entecroisent en signe d'entente"
"Les libations après les accordailles"
"La calebasse circule, pleine de "pipi" (bière de mil). Le buveur souffle pour écarter l'écume qui se forme à la surface du liquide"
"Le soir, un tam-tam réunit les amis des deux familles"
"Et après"
Le jeune couple tient une longue palabre en se souriant.
[fin de la partie mise en scène]

"Sur le Chari et le Logone, le voyageur circule en baleinière"
Des pirogues couvertes sur l'eau
"Aux basses eaux la perche remplace avantageusement la pagaie"
"La cuisine, Ă  l'Ă©troit entre les pieds des voyageurs"
"les bancs de sables fleuris d'oiseaux"
"PĂ©licans en conciliabule"
"Les villages Kotokos ont conservé leurs anciens remparts mais les marabouts ont pris la place des sentinelles"
"Entre les murs de terre, l'ombre et la fraîcheur"
"A l'intérieur des villages, de petits étangs. Au loin le fleuve".
"Dans chaque cour, les poissons sèchent sur des claies emplissant le village de puanteur"
"Au petit matin, les pagayeurs amènent au village un hippopotame tué la veille".
Une vingtaine d'hommes sont nécessaires pour tirer l'hippopotame hors de l'eau jusqu'à la rive, où il est dépecé.
"De quoi se régaler pendant dix jours"
"Chez les Massas"
"Sur les deux rives du Logone, la peuplade Massa a construit quelques villages".
"Les cases en forme d'obus sont entièrement construits en argile"
"Chacune prend jour par en haut à la manière du Panthéon d'Agrippa"
"Les reliefs réguliers qui décorent les cases forment des degrés qui permirent de se passer d'échafaudage pour leur construction"
"L'indigène façonne à la main ces étranges poteries qui atteignent 8 mètres de haut"
"Les portes en forme de trou de serrure sont fermées la nuit par des nattes"
"Au matin, les enfants viennent faire sortir les troupeaux"
"Les Massas partagent avec le bétail l'intérieur de leur case qui est néanmoins très propre car tout y est à sa place"
"L'intérieur des cases est sombre. L'oeil met quelque temps à s'habituer à leur obscurité"
"Un moulin primitif"
"Les veaux sont parqués dans un coin de la case où les vaches viendront les rejoindre à la tombée du jour"
"Les jeunes bergers vont mener les troupeaux pâturer au bord du fleuve"
"En temps de basses eaux, un grand barrage en travers du Logone arrĂŞte le poisson"
Des jeunes gens munis de nasses
"Les enfants s'amusent Ă  pĂŞcher"
"Un grand frère apporte un petit crocodile, rôti inespéré"
"mais pas tout Ă  fait mort"
"Pendus sur le mur, les filets de pĂŞche"
"Ce gros pot Ă  tabac c'est le grenier Ă  mil"
"Il ne repose pas directement sur le sol car la récolte doit être à l'abri de l'humidité, des termites et des rats"
"Pour puiser à la réserve, la ménagère doit recourir à des intermédiaires"
"Les Massas se sont réunis pour la danse"
"Le groupe de danseurs s'agite confusément dans l'attente des premiers battements du tambour"
"Les ombres s'allongent tandis que le soleil décline"
"Chaque danse a son rythme spécial, son chant spécial"
"Les enfants et les femmes se oignent bientĂ´t Ă  la danse"
"Le tam-tam se prolonge jusqu'au soir"
"Tout s'apaise, le village s'endort"
"Léré"
Les maisons en pisé aux murs épais semblent des nids d'insectes"
"L'ouverture de chaque grenier à mil est orientée comme celle des greniers à houblon"
"Les danseurs Moundangs forment une sorte de corporation religieuse qui s'assemble Ă  chaque nouvelle lune pour des fĂŞtes rituelles"
"Le costume des danseurs moundangs rappelle étrangement le costume thibétain"
"Les femmes jusqu'Ă  leur mariage n'ont pour vĂŞtement qu'une ceinture de perles"
"Leur danse ne se mĂŞle pas Ă  celle des hommes"
"Lorsque le danseur fatigué vient s'asseoir, sa longue jupe le gêne. Il l'épanouit par un mouvement giratoire"
"Dans la foule"
"l'arrivée des Dieux"
"Pébéli, "le père de moi", dieu mâle
Mébéli, "la mère de moi", principe femelle
Le plus petit : Massim Biambé "Dieu m'a gagné" est le créateur immatériel"
Danse de masques.
"Tout en n'ayant pas l'air de les prendre au sérieux, les hommes éprouvent une certaine gêne en leur présence"
"Quant aux filles, elles ont déserté les terrasses pour ne pas les voir"
"Massim Biambé, avec sa petite hachette, est très méchant. Dès qu'il s'approche chacun s'enfuit"
"les peuplades que nous avons vues jusqu'à présent sont fétichistes"
"Au nord du Cameroun, les Foulbés groupés en plusieurs sultanats sont islamisés depuis quelques siècles"
"Devant le palais du ReĂŻ-Bouba, le plus important de ces sultans, une circulation incessante"
"Le bois, le bétail, les récoltes, tout appartient au sultan"
"Dans le secret du palais. La cour du trône. Les serviteurs n'y pénètrent que dévêtus et n'y avancent qu'en se courbant."
"Reï-Bouba va sortir. On l'attend. La mise en scène se prépare".
"Devant lui défilent les notables sur leurs chevaux caparaçonnés"
"La civilisation"
Un parc et des maisons européennes
"Mission protestante de Douala"
"La récréation à l'école des filles"
"et l'agitation de la vie européenne"
port-bâteaux.

Version 1
Jazyková verze: fra
Zvuk: Silent film
Aspect: 1:1,33
Minutáž: n/a

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Druh nosiÄŤe: n/a
Druh materiálu: Acetate